Candy Darling, le “regain de gloire” d’une icône trans
Écrit par rfm le 13 avril 2024
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Le souvenir de Candy Darling (1944-1974) transparaît çà et là dans des œuvres de la pop underground des années 1960. Dans deux chansons de Lou Reed : Candy Says et Walk on the Wild Side (“Candy came from out on the Island /In the back room she was everybody’s darling”). Dans plusieurs films d’Andy Warhol, dont Flesh et Women in Revolt. Dans Citadel, une chanson des Rolling Stones. Elle a joué le rôle de muse jusque sur son lit d’hôpital, immortalisée en 1974 par le photographe Peter Hujar avant de décéder d’un cancer la même année.
Disparue à 29 ans, l’actrice et icône transgenre du New York underground est désormais l’héroïne d’une biographie, publiée aux États-Unis sous le titre Candy Darling : Dreamer, Icon, Superstar (“Candy Darling, rêveuse, icône superstar”, non traduite en français).
L’autrice de cette biographie, Cynthia Carr, “a dû reconstituer le portrait de la jeune Candy à partir de fragments, de souvenirs à demi effacés et du sentiment de honte qu’elle a provoqué dans sa famille”, depuis sa naissance dans la peau d’un petit garçon à sa vie de starlette branchée, écrit The New Yorker. Le résultat, salué par plusieurs titres de presse américains, est un ouvrage “à mille fac
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