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Donald Trump dit avoir « un vrai problème » avec le juge qui préside son procès à New York

Écrit par le 16 avril 2024


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Le candidat du Parti républicain à la présidentielle américaine s’est aussi plaint, au premier jour de son procès, de ne pas pouvoir faire campagne comme il l’entend.


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Donald Trump arrive au tribunal où débute son procès, à New York (Etats-Unis), le 15 avril 2024. (GETTY IMAGES NORTH AMERICA / AFP)

Il dénonce toute l’affaire comme étant une « chasse aux sorcières ». L’ex-président américain Donald Trump a dit, lundi 15 avril, au premier jour de son procès à New York, avoir « un vrai problème » avec le juge. « Nous n’allons pas avoir droit à un procès équitable, c’est très, très triste », a-t-il affirmé à la presse. Le premier procès de Donald Trump au pénal s’est ouvert lundi, fait historique pour un ex-chef d’Etat américain.

Le candidat du Parti républicain à la présidentielle du 5 novembre s’est également plaint de ne pas pouvoir organiser sa campagne comme il le souhaite. « Que je ne sois pas en Géorgie, en Floride ou en Caroline du Nord, à faire campagne comme je devrais être en train de le faire, c’est parfait pour les démocrates de la gauche radicale. C’est exactement ce qu’ils veulent. Il s’agit d’ingérence électorale. C’est tout », a-t-il ajouté.

Plus de la moitié des jurés exemptés

Le milliardaire est poursuivi pour des paiements destinés à acheter le silence de l’ancienne actrice de films X Stormy Daniels à quelques jours de l’élection de 2016, qu’il avait remportée sur le fil face à la candidate démocrate Hillary Clinton. A son arrivée au tribunal, il avait déjà fustigé « une persécution politique, inédite, sans précédent » à son encontre.

Le processus pour sélectionner les jurés est complexe. Des centaines d’habitants de Manhattan, tirés au sort, avaient reçu une convocation à se présenter au tribunal lundi. Sur le premier groupe de 96 jurés potentiels autorisés à entrer dans la salle d’audience, plus de la moitié ont levé la main pour signaler qu’ils s’estimaient incapables de juger impartialement Donald Trump. Ils ont donc été aussitôt exemptés. La trentaine restante doit répondre à une série de questions génériques. L’objectif de ce processus de « voir dire » (littéralement « dire la vérité ») est de sélectionner 12 jurés et six suppléants pour ce procès prévu pour durer jusqu’à la fin mai.



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