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en infériorité numérique, le PSG s’impose dans la douleur à Marseille

Écrit par le 1 avril 2024


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Même à 10 contre 11, le PSG a su faire le dos rond pour gagner le Classique en terres marseillaises (2-0) grâce à Vitinha et Gonçalo Ramos. Au terme de la 27e journée de Ligue 1, Paris garde 12 points d’avance en tête du championnat.

France Télévisions – Rédaction Sport


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Temps de lecture : 2 min

Les Parisiens célèbrent l'ouverture du score de Vitinha lors du Classique, au Stade Vélodrome de Marseille, le 31 mars 2024. (CHRISTOPHE SIMON / AFP)

Porté par ses Portugais – Vitinha et Gonçalo Ramos – au stade Vélodrome, dimanche 31 mars, le PSG a remporté le deuxième Classique de la saison, mettant fin à une série de 19 matchs sans défaite des Marseillais dans leur antre cette saison. Paris est toujours large leader de Ligue 1 avec 62 points, tandis que Marseille reste aux portes des places européennes avec 39 points, en septième position. L’OM pourra nourrir des regrets, tant les hommes de Jean-Louis Gasset ont multiplié les occasions sur le but parisien, alors que Lucas Beraldo a été exclu avant la pause.

Cette supériorité numérique aurait pu permettre aux Marseillais d’inverser le rapport de force dans les Classiques. S’ils ont globalement dominé la rencontre, ils n’ont pas su se montrer efficaces, pour preuve, les 461 minutes sans marquer face à leurs rivaux. Avec 20 frappes sur le but parisien (contre seulement 8 pour le PSG), les Phocéens ont largement tenté leur chance dans ce Classique, mais ils sont tombés sur un Gianluigi Donnarumma en très grande forme. Auteur de 10 parades, le gardien italien a permis à Paris de garder l’avantage au plus fort de la pression marseillaise en deuxième période, avec notamment quelques arrêts de grande classe, devant Faris Moumbagna (87e) ou Amine Harit (89e).

Les Phocéens ont également été malheureux, lorsque Jordan Veretout a vu sa lourde frappe frôler le montant (16e), puis égaliser, avant de voir son but refusé pour un hors-jeu de Luis Henrique (59e). En face, Paris a su faire étalage de sa puissance offensive en fonctionnant en contre. D’un long une-deux, Ousmane Dembélé a servi Vitinha sur un plateau (0-1, 53e), avant que Gonçalo Ramos ne mette fin au suspense, après un centre de Marco Asensio (0-2, 85e).

Vitinha et Dembélé débloquent Paris

Brillant avant la trêve face à Montpellier, Vitinha a ajouté une nouvelle réalisation à une saison qui ressemble à celle de la confirmation, avec déjà sept buts et cinq passes décisives à son actif toutes compétitions confondues. Le milieu portugais peut surtout remercier un Ousmane Dembélé altruiste, à l’image de sa soirée. Passeur décisif, il a été celui qui a mis du liant dans le jeu parisien. Maladroit et dispendieux avec le ballon en début de match, dans un rôle du numéro 10, il est pourtant celui qui a permis aux siens de créer du danger. En première période, c’est lui qui sert Randal Kolo Muani amenant un raté de Fabian Ruiz (4e), avant de lancer de nouveau l’ancien Nantais en profondeur, ce dernier butant sur Pau Lopez (28e).

Inspiré, son raid solidaire à la demi-heure de jeu méritait certainement meilleur sort, mais il a encore pêché à la finition, croisant trop sa frappe. Remplacé par Marco Asensio peu après l’heure de jeu, son absence s’est fait ressentir, tant Paris a perdu en maîtrise sur ses contre-attaques. Seul Achraf Hakimi a réussi à mettre un peu de rythme et de qualité technique, sur le deuxième but notamment, lors de 20 longues dernières minutes de souffrance pour Paris. Tout le contraire d’un Kylian Mbappé, qui s’est longtemps signalé par son inefficacité sur le flanc gauche de l’attaque parisienne, jusqu’à sa sortie au même moment (65e minute).



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