« La violence, les insultes, les jets de projectiles. » Le maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc (ex-Les Républicains) déclare dans un communiqué publié mercredi soir avoir été, avec des élus, « violemment pris à partie » lors d’une déambulation dans la ville de Haute-Garonne, à l’occasion de la fête de la musique.
Il écrit avoir été agressé par « une meute organisée de l’ultra gauche » qui faisait partie du cortège manifestant contre la dissolution du mouvement des Soulèvements de la terre, et parle d’insultes, de « jets de projectiles » et « d’affrontement physique ».