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quelles sont les pistes de Gabriel Attal pour la prochaine réforme prévue cette année ?

Écrit par le 28 mars 2024


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Le Premier ministre s’est notamment prononcé, mercredi soir, en faveur d’une réduction de la durée d’indemnisation des chômeurs, « de plusieurs mois ».


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Le Premier ministre Gabriel Attal, à l'Assemblée nationale, à Paris, le 26 mars 2024. (XOSE BOUZAS / HANS LUCAS / AFP)

Pour la troisième fois depuis 2017, un gouvernement d’Emmanuel Macron met sur les rails une réforme de l’assurance-chômage. Gabriel Attal a annoncé, mercredi 27 mars sur TF1, avoir demandé à sa ministre du Travail « de préparer de nouvelles négociations » sur l’assurance-chômage, qui dispose d’un budget de 45 milliards d’euros chaque année. « Il y aura une réforme de l’assurance-chômage cette année », a déclaré le Premier ministre, qui a évoqué ses préférences pour modifier le système actuel.

Plusieurs types de paramètres sont à prendre en compte pour l’indemnisation des chômeurs : la durée d’indemnisation, la durée nécessaire pour bénéficier d’une indemnisation ou encore le montant de l’indemnisation versée aux demandeurs d’emploi.

Gabriel Attal a d’abord évoqué la première catégorie, alors que la durée des indemnisations des chômeurs a déjà été abaissée de 24 à 18 mois en février 2023, en règle générale. « Une des pistes, c’est de réduire cette durée d’indemnisation de plusieurs mois », mais « je ne pense pas qu’il faille que ça aille en dessous de 12 mois », a-t-il estimé. 

Le niveau d’indemnisation inchangé ?

A l’heure actuelle, il faut avoir travaillé six mois sur les deux années précédentes pour percevoir une allocation-chômage. « Là aussi, on peut imaginer, soit de dire : ‘Il faut travailler davantage sur les 24 derniers mois’ ou alors dire que les six mois s’apprécient sur une durée moins longue qui est, par exemple, 18 mois », a lancé le Premier ministre.

Enfin, Gabriel Attal a abordé le troisième levier, celui du niveau d’indemnisation du chômage, avec une dégressivité de l’indemnisation au fil du temps passé sans emploi. « Là aussi, c’est une des pistes, qui a moins ma préférence que les deux précédentes, mais on va laisser les partenaires sociaux travailler », a prévenu le Premier ministre.

En matière de calendrier, l’ancien porte-parole du gouvernement « veut que nous ayons les paramètres de cette réforme à l’été, pour qu’elle puisse entrer en vigueur à l’automne ».



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