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pugilat pour la deuxième place chez les républicains

Écrit par le 11 janvier 2024


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“Ron DeSantis et Nikki Haley ont passé deux heures à se lancer des insultes durant le débat présidentiel républicain organisé ici mercredi, montrant combien les deux campagnes jouent leur va-tout, se disputant âprement la deuxième place à quelques jours des caucus de l’Iowa”, écrit, jeudi 11 janvier, The Des Moines Register.

Trump, le grand favori des républicains

Alors que s’apprêtent à débuter les scrutins pour désigner le candidat républicain à la présidentielle, Donald Trump jouit d’une avance considérable dans les sondages. Il est ainsi choisi par 64 % des électeurs de primaires républicaines dans la dernière enquête nationale menée par The New York Times et Siena College (10-14 décembre). Son score a encore grimpé depuis juillet, tandis que son supposé rival, le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a chuté à seulement 9 %. Il voit sa deuxième place menacée par Nikki Haley (11 %), ex-ambassadrice aux Nations unies, qui s’est fait remarquer lors des débats télévisés “zappés” par Donald Trump. Ce dernier est aussi largement en tête dans l’Iowa, qui ouvrira le bal le 15 janvier avec ses caucus, et à un moindre degré dans le New Hampshire, où Nikki Haley est créditée d’importantes intentions de vote à la primaire du 23 janvier.

Courrier International

“Tous deux ont réservé leurs coups les plus durs à leur adversaire du soir et non à celui qui fait la course en tête, Donald Trump, lequel a ignoré le débat”, observe le quotidien de l’Iowa, où sera donné le coup d’envoi des primaires républicaines, lundi 15 janvier, en vue de la présidentielle de novembre.

Accusée d’être “une nouvelle politicienne faux jeton qui dit juste ce qu’elle croit que les gens veulent entendre dans l’espoir de récolter leurs voix”, Nikki Haley a répliqué en dirigeant le public vers le site desantislies.com (“DeSantis ment”). L’ex-ambassadrice aux Nations unies a aussi critiqué l’organisation de la campagne adverse, lançant : “Pourquoi devrait-on vous faire confiance pour gérer ou accomplir quoi que ce soit dans ce pays ?” Quant au gouverneur de Floride, il a épinglé les récentes bévues de sa rivale, qui a notamment omis de citer l’esclavage parmi les causes de la guerre de Sécession : “Elle a un souci de podologie balistique – vous savez, quand on se tire une balle dans le pied.”

Seuls en piste

“Malgré ces échanges agressifs, souvent sur le terrain personnel, le format resserré a permis des discussions plus approfondies sur les sujets de fond que lors des précédents débats”, estime The Des Moines Register.

Pour la première fois, en effet, les deux candidats à l’investiture étaient seuls sur scène. L’entrepreneur Vivek Ramaswamy n’était pas qualifié, pas plus que l’ancien gouverneur Chris Christie, qui a même annoncé mercredi mettre fin à sa campagne. De quoi “potentiellement donner un gros coup de pouce à Nikki Haley dans le New Hampshire”, où les primaires se poursuivront le 23 janvier.

En Iowa, ce retrait ne changera sans doute pas grand-chose, précise le journal. Nikki Haley et Ron DeSantis sont au coude-à-coude dans les sondages, très loin de l’ancien président Donald Trump, qui domine outrageusement à l’échelle nationale. Et, selon le journal local, “il n’est pas sûr qu’aucun des deux ait été en mesure d’asséner le genre de coup qui pourrait rebattre les cartes”.

“J’aimerais voir Donald Trump sur ce plateau. C’est contre lui que je fais campagne”, a assuré Nikki Haley. Pourtant, en regardant la télévision, “on aurait certainement pu penser le contraire”, souligne The Washington Post, qui place Trump en tête des “gagnants” du débat. Comme d’habitude, dans cette campagne où le milliardaire les a systématiquement zappés.

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