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Trocadéro, Stade de France… À quoi pourraient ressembler les «plans B et C» de la cérémonie d’ouverture des JO ?

Écrit par le 15 avril 2024


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Alexis de la Fléchère, édité par Gauthier Delomez / Crédits photo : LUDOVIC MARIN / AFP

Dans un contexte de menace terroriste, la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024, prévue sur la Seine le 26 juillet, est sujette à discussions au plus haut sommet de l’État. Emmanuel Macron a évoqué lundi de possibles plans B et C, respectivement au Trocadéro et au Stade de France. Des hypothèses qui rendraient la cérémonie moins spectaculaire.

Pour la première fois, Emmanuel Macron a évoqué lundi des « plans B et C » pour la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, toujours prévue sur la Seine le 26 juillet prochain. Le président a assuré qu’en cas de menace terroriste forte – la France est passée au niveau Vigipirate Urgence attentat après l’attaque à Moscou -, cette cérémonie pourrait être « limitée au Trocadéro », voire déplacée, en dernier recours, au Stade de France. « C’est ce qui se fait classiquement », a déclaré le chef de l’État.

Une cérémonie au rabais au Stade de France ?

Mais si cette hypothèse venait à se confirmer, l’enceinte dionysienne ne serait alors utilisée que pour la cérémonie protocolaire et non plus artistique. Cela signifie que le Stade de France accueillerait de ce fait uniquement la déclaration d’ouverture des Jeux faite par le président de la République, et le serment olympique prêté par les deux athlètes. Il n’y aurait donc pas de spectacle, ni de show artistique au menu. Il n’y aurait donc pas, a priori, d’intérêt à accueillir du public dans ces conditions.

La place du Trocadéro choisie comme plan B

Mais il ne s’agit là que du plan C. Le plan B a lui été annoncé autour du Trocadéro, qui fait face à la tour Eiffel. Dans ce schéma, les organisateurs conserveraient une partie de la cérémonie sur la Seine, mais de façon réduite.

Ces annonces interviennent dans un contexte très tendu. Comme le révélait Europe 1 fin mars, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) avait préconisé au ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin de prévoir très sérieusement des alternatives au plan initial.

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