En ce moment

Titre

Artiste

[qt-onairmini]

[qt-onairmini]


un jeu techniquement indigne d’une exclu PS5 ?

Écrit par le 27 mars 2024


[ad_1]

Nous l’avions déjà relevé dans notre test : la partie technique de l’exclusivité PS5 Rise of the Ronin n’est pas son point fort. C’est d’autant plus flagrant grâce aux maîtres analystes chez Digital Foundry.

Avec leurs yeux aussi affûtés qu’un katana, nos confrères de chez Eurogamer ont étudié en profondeur la proposition technique de Rise of the Ronin. Et malheureusement pour l’exclusivité PS5 de Team Ninja, le résultat ne mérite pas vraiment qu’on lui dédie un haiku.

Rise of the Ronin, mais pas de la technique

C’est malheureusement un fait : Team Ninja se traîne un moteur vieillissant. Nous avons pu en voir le résultat dans Wo Long: Fallen Dynasty, son précédent titre. Il s’agissait toutefois d’un jeu multiplateformes. Avec Rise of the Ronin, le studio avait l’occasion de peaufiner sa formule sur la seule et unique PS5. Cela n’a visiblement pas suffi pour proposer un travail d’optimisation approfondi, d’après notre avis et l’analyse approfondie de Digital Foundry.

Ainsi, ce jeu hybride à cheval entre Nioh et Ghost of Tsushima n’est clairement pas un mètre-étalon technique. Il peut heureusement compter sur un gameplay maîtrisé dont Team Ninja a le secret. Deux choses restent cependant constantes tout au long de l’aventure de notre personnage : un monde ouvert et un enrobage graphique qui laissent à désirer. À l’exception de visages et d’effets de lumière/ombres correctement modélisés, le reste n’est pas vraiment à la hauteur d’un jeu nouvelle génération.

Rise of the Ronin se permet tout de même quelques moments de poésie. © KiKiToes pour Gameblog

Un jeu qui n’aime pas beaucoup la 4K

Ceci est notamment à imputer à un pop-in assez dérangeant des éléments de décor, même à seulement quelques mètres de notre personnage. Les textures affichent également une résolution qui nous ramène presque à l’époque PS4. Et les mode graphiques Ray Tracing et Qualité ne vont malheureusement pas foncièrement améliorer les choses. C’est notamment flagrant dans les grandes zones ouvertes, rendues dans les environs du 1080p. Le FSR 2 d’AMD vient upscale le tout en 4K, mais cela provoque des artefacts visuels assez disgracieux.

Malgré une technique vieillissante, le titre peine également à maintenir un framerate constant. En mode Qualité et Ray Tracing, les 30 FPS toussent souvent. Et le faible apport visuel ne justifie pas vraiment une telle perte de fluidité. Le mode Performance n’est cependant guère mieux loti, ayant du mal à maintenir les 60 FPS. Pour payer ce gain en fluidité, le rendu global du jeu est de plus encore moins net. Pire encore, les cinématiques sont, peu importe le mode, bloquées à 30 FPS. Un coup dur alors que le jeu essaie de nous proposer une histoire intrigante, mais quelque peu entachée par des animations saccadées. Tout au plus, Rise of the Ronin permet de replonger dans l’histoire du Japon en attendant un Ghost of Tsushima sur PC autrement plus solide techniquement.

[ad_2]

Source link