En ce moment

Titre

Artiste

[qt-onairmini]

[qt-onairmini]


“Vivre à l’étranger m’a appris à faire des économies”

Écrit par le 16 avril 2024


[ad_1]

Si Victoria Cazavos est aujourd’hui moins dépensière, elle le doit à un séjour professionnel à Rota, une petite ville située dans le sud l’Espagne. Sur le site de Business Insider, elle confesse :

“J’aimerais pouvoir dire que je n’ai pas eu besoin de déménager sur un autre continent pour me sentir plus à l’aise avec mon état d’esprit en matière d’argent, mais c’est pourtant le cas”.

Ayant grandi au Texas, elle avait l’habitude de se nourrir presque exclusivement de produits transformés, de ne se déplacer qu’en voiture et de vivre, chaque été, avec la climatisation branchée jour et nuit. Autant d’habitudes avec lesquelles elle a dû rompre dès son arrivée dans la région de Cadix, en Andalousie.

“En Espagne, je n’avais qu’un petit climatiseur dans mon appartement. Un mois après ma première nuit là-bas, il était déjà tombé en panne.”

L’été andalou l’a contrainte à adopter quelques gestes simples. “J’ai appris à créer des courants d’air dans mon petit appartement du troisième étage et à garder des serviettes fraîches et de l’eau au réfrigérateur pour les journées particulièrement chaudes.” Des alternatives à la climatisation qui ne coûtent rien.

“J’ai cessé d’acheter tout ce dont j’avais envie”

Pour se nourrir en Espagne, Victoria Cazavos a pu dépenser beaucoup moins d’argent qu’aux États-Unis, “en grande partie parce que je vivais sur la côte sud de la péninsule, où l’on trouve du poisson à volonté, des olives et d’autres produits de base à des prix raisonnables”. Des produits frais, disponibles localement.

“De nombreux plats typiques du sud de l’Espagne, comme le gaspacho ou la tortilla de patata, sont composés d’ingrédients très bon marché”. Sans compter que beaucoup de recettes locales se révèlent antigaspi : c’est le cas du gaspacho, encore meilleur s’il est fait de tomates “trop mûres”.

Victoria Cazavos confie également qu’elle a dû apprendre à se déplacer autrement qu’aux États-Unis. En voiture, en oubliant les modèles à boîte de vitesses automatique, “car les voitures automatiques ne sont pas la norme en Europe” – et sont plus chères en location que les modèles standards. Mais surtout en se passant d’automobile, au moins pour se déplacer en ville. “À Rota, j’ai fait du vélo, du covoiturage et j’ai marché aussi souvent que possible.”

Mais le changement le plus spectaculaire intervenu lors de son séjour en Espagne concerne le comportement consumériste caractéristique de la culture américaine. “Je n’ai pas acheté ce dont j’avais envie tout simplement parce que je savais que je devrais tout rapporter aux États-Unis dans quelque temps.”

Au final, Victoria Cazavos se félicite d’avoir économisé “des milliers de dollars”. Mais au-delà de ces économies ponctuelles, l’expatriation a changé sa façon de dépenser de l’argent en introduisant “un soupçon de frugalité” et une bonne dose d’ingéniosité dans ses habitudes quotidiennes.

[ad_2]

Source link


Les opinions du lecteur

Laisser un commentaire