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une Française retrouvée morte poignardée en vallée d’Aoste, son compagnon interpellé

Écrit par le 11 avril 2024


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L’homme, de nationalité italienne, était recherché depuis fin mars pour avoir violé son contrôle judiciaire. Il avait été déféré pour « violences conjugales » et « menaces » et avait interdiction d’entrer en contact avec la victime.


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Le corps de la victime a été découvert dans une chappelle de la commune de La Salle, dans la vallée d'Aoste. (CAPTURE D'ECRAN / GOOGLE MAPS)

Une Française a été retrouvée morte poignardée en vallée d’Aoste, en Italie, a appris mercredi 10 avril le correspondant de Radio France en Italie d’une source officielle à Rome. Son compagnon, suspecté d’être l’auteur du meurtre, a été interpellé à Lyon, selon le parquet de Grenoble.

C’est vendredi 5 avril que le corps de la jeune femme a été retrouvé dans une chapelle abandonnée à La Salle, une commune proche des frontières française et suisse. La jeune femme de 22 ans venait de Saint-Priest, dans la banlieue lyonnaise (Rhône). Au moins l’un de ses deux parents, arrivé en Italie, l’a identifiée. Son corps portait des traces de couteau au cou et à l’abdomen. La date du décès, par hémorragie, n’est pas encore précisée. 

L’homme était recherché depuis le mois de mars

Selon le parquet de Grenoble, son compagnon, un homme de 21 ans, de nationalité italienne, est suspecté du meurtre de la jeune femme. Il a été interpellé à Lyon. Le parquet de Grenoble a ouvert une enquête pour meurtre, comme l’a fait auparavant le parquet d’Aoste. Les policiers de Grenoble sont chargés de l’enquête.

Le parquet de Grenoble avait été informé par la police italienne que le couple avait passé ensemble, sans incident, la frontière entre la France et l’Italie le 25 mars. L’homme est recherché depuis fin mars pour la violation de son contrôle judiciaire prononcé le 13 janvier après son défèrement pour « violences conjugales » et « menaces » sur sa victime afin qu’elle se rétracte de sa plainte. Le juge des libertés et de la détention lui avait notifié une interdiction d’entrer en contact avec la victime et l’obligation de répondre aux convocations de l’association en charge du suivi du contrôle judiciaire. Il devait être jugé par le tribunal correctionnel de Grenoble le vendredi 3 mai.



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