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La chronique de Sabine Delanglade : le village de Comporta

Écrit par le 13 avril 2024


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De l’eau froide, des moustiques… A priori, pas de quoi se rouler dans le sable. Mais voilà, justement, le sable il y en a seize kilomètres de long, en en faisant la plus belle plage d’Europe. Il y a aussi des dauphins, plus de 250 espèces d’oiseaux. Résultat, la destination portugaise de Comporta, ce village de pêcheurs de l’Alentejo, qui se murmurait depuis une trentaine d’années s’installe dans les radars du tourisme « chic ».

Lorsque, à l’époque, Cathrine Austad, séduite par le charme de ces étendues désertes et magnifiques, rizières et ajoncs, y avait ouvert une des premières boutiques, cela avait démarré « très doucement ». Mais ces toutes dernières années, les ventes « hippie chic » de La Lavanda ont décuplé, emportées par le mouvement d’accélération qui, tout à coup, fait pousser hôtels et maisons. Un peu comme Saint-Tropez connut ses précurseurs artistes, le décorateur Jacques Grange, le chausseur Louboutin, les Casiraghi, avaient depuis longtemps installé leurs pénates, l’été, à Comporta.

Aujourd’hui, les projets se développent, le golf aussi. Les écolos n’apprécient pas. Ils ne sont jamais contents. Pourtant, on parle beaucoup « écotourisme », « biopools », « écohôtels ». Pr écisons que dans ces cas-là « éco » ne signifie absolument pas économique. Mieux vaut avoir des comptes dans le vert pour s’offrir Comporta. Louboutin a ouvert un hôtel de charme ; les semelles de ses espadrilles sont-elles rouges ? Côté restaurants, on se retrouve au Museo do Arroz, au Ilha do Arroz. Mignonnes, allons voir si l’arroz.

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