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Montres : la tendance du calendrier perpétuel

Écrit par le 27 mars 2024


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Elle est l’une des complications horlogères les plus prestigieuses. Inventé au milieu du XVIIIe siècle par l’anglais Thomas Mudge, le quantième perpétuel ne cesse de séduire les amateurs. La preuve en deux modèles horlogers.

BLANCPAIN – Villeret Quantième Perpétuel : les forêts du Brassus au poignet

Blancpain dévoile une nouvelle pièce issue de sa très chic collection Villeret. Après des « QP » en acier ou en platine, ce quantième perpétuel présente pour la première fois un cadran vert soleillé, en hommage aux forêts de sapins qui bordent la vallée de Joux en Suisse, berceau des créations Blancpain. On y retrouve des chiffres romains appliqués en or rouge dont la teinte change subtilement selon la lumière qui éclaire la montre. Les sous-cadrans azurés du calendrier correspondent à la date à 3h, au jour à 9h, au mois à 12h (avec un indicateur d’année bissextile intégré) ainsi que la phase de Lune à 6h.

En contraste avec cette couleur inédite, le boîtier de 40,3 mm (pour seulement 10,8 mm d’épaisseur) à double pomme, signature de la ligne Villeret et les aiguilles sont habillés d’or rouge. L’aiguille centrale des secondes est ornée d’un contrepoids « JB », en hommage à Jehan-Jacques Blancpain, le fondateur de la maison. Cette version conserve le charme de la série avec une carrure entièrement polie et une lunette classique à gradins améliorant l’impact visuel du cadran. La pièce est animée par un mouvement automatique 5954 offrant une confortable réserve de marche de 72 heures et visible à travers le fond ouvert qui dévoile la masse oscillante en or rouge décorée en nid d’abeille et le spiral en silicium aux propriétés antimagnétiques reconnues.

Deux spécificités complètent ce QP. La première est une sécurité protégeant le mécanisme calendaire contre tout endommagement si le porteur ajuste sa montre durant le changement des indications. La seconde est un correcteur sous cornes : une fonction brevetée en 2004 par Blancpain sur un quantième perpétuel et qui permet de régler les indications du calendrier par simple pression du doigt, sans outil. Pourquoi faire compliqué lorsque la simplicité s’impose ? Une particularité d’affichage n’aura pas échappé aux amateurs de QP : la double échelle indiquant les années bissextiles (L : pour leap year)

Prix : sur demande

blancpain.com

AUDEMARS PIGUET – Royal Oak Quantième Perpétuel « John Mayer » : la guerre des étoiles

Après une audacieuse Royal Oak Perpetual Calendar « Cactus Jack » en céramique chocolat réalisée avec Travis Scott, la manufacture du Brassus s’associe au chanteur, guitariste et collectionneur de montres américain John Mayer. Le résultat ? Un ovni horloger, limité à 200 exemplaires. L’objectif ? Insuffler sa sensibilité à la création d’un garde-temps distinctif en or gris 18 carats, alliant la puissance esthétique de la Royal Oak au raffinement du quantième perpétuel.

Le spectacle de cette nouvelle itération de l’icône d’Audemars Piguet se joue au centre de la montre, sur son cadran. « Mes montres préférées sont celles dont on peut contempler le cadran indéfiniment. Un bon cadran est comme une fenêtre panoramique : on y pénètre en le regardant. Dans le cas de ce QP, c’est comme lever les yeux au ciel. Il y a un vrai sens de la nature. Et quand cette sensation d’immensité et de profondeur est combinée à un quantième perpétuel, c’est une puissante confluence de prouesse technique et d’esthétique », a souligné John Mayer.

On retrouve ici l’idée des cadrans « toscans » grainés et martelés à la main, vus par le passé sur des éditions méconnues de la Royal Oak, notamment dans les années 1990. Néanmoins, John Mayer, tout en s’inspirant des modèles « vintage » signés AP, s’en éloigne pour amener quelque chose de beaucoup plus contemporain. Le cadran en laiton scintillant bleu foncé (couleur signature de la référence) de cette Royal Oak Quantième Perpétuel « John Mayer » évoque les cieux et le cosmos. Baptisé « Crystal Sky », il a été réalisé par une technique d’estampage et un processus de dépôt de métal appelé électroformage. Ceci lui confère des formes irrégulières ressemblant à des cristaux, dont les angles vifs et les facettes ajoutent du relief et de la brillance à la pièce.

Concernant l’affichage des informations, Audemars Piguet n’a pas bousculé les codes établis : on retrouve le jour à 9h, le mois et l’année bissextile à 12h et la date à 3h, ainsi que la Lune à 6h sur un fond en aventurine. Le changement vient, comme souvent, des détails. À l’instar de l’aiguille centrale des semaines bleu ciel qui pointe la date. L’affichage rouge classique du 31ème jour du mois a été remplacé par du blanc. La montre se pare d’un boîtier de 41 mm (pour 9,5 mm d’épaisseur) en or gris aux surfaces brossées et polies. Au coeur du modèle, bat le calibre à remontage automatique 5134. Cette mécanique historique, lancée en 2015, a adapté le mouvement à quantième perpétuel à un diamètre de boîte plus grand de 41 mm tout en conservant la finesse de son profil, d’une épaisseur de 4,3 mm.

Last but not least, Audemars Piguet a indiqué que la Royal Oak Quantième Perpétuel « John Mayer » sera la dernière édition limitée équipée du calibre quantième perpétuel à remontage automatique 5134. Le prochain calibre QP devant être plus fin puisque profitant certainement des avancées technologiques de la montre AP Universelle.

Prix : sur demande

audemarspiguet.com

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